Tags (3) : ONF
GULÎSTAN, TERRE DE ROSES de Zaynê Akyol
Canada (Québec)–Allemagne. 2017. 86 min. (G)
Elles appartiennent au PKK, le Parti des travailleurs du Kurdistan, qui est aussi un mouvement de guérilla. En plus de défendre le territoire kurde en Irak et en Syrie, elles luttent contre le groupe armé État islamique, tout en incarnant un idéal révolutionnaire axé sur l’émancipation des femmes.
« Dans ce premier long métrage, Zaynê Akyol impressionne le spectateur par la qualité du contact humain qu’elle est parvenue à établir rapidement dans un contexte de guerre difficile et par sa façon d’aborder un sujet délicat avec une assurance tranquille. » (Gilles Marsolais, 24 images)
La projection sera suivie d’une discussion avec Huseyin Akyol, avocat et frère de la réalisatrice Zaynê Akyol.
Canada (Québec)–Allemagne. 2017. 86 min. (G)
Elles appartiennent au PKK, le Parti des travailleurs du Kurdistan, qui est aussi un mouvement de guérilla. En plus de défendre le territoire kurde en Irak et en Syrie, elles luttent contre le groupe armé État islamique, tout en incarnant un idéal révolutionnaire axé sur l’émancipation des femmes.
« Dans ce premier long métrage, Zaynê Akyol impressionne le spectateur par la qualité du contact humain qu’elle est parvenue à établir rapidement dans un contexte de guerre difficile et par sa façon d’aborder un sujet délicat avec une assurance tranquille. » (Gilles Marsolais, 24 images)
La projection sera suivie d’une discussion avec Huseyin Akyol, avocat et frère de la réalisatrice Zaynê Akyol.
Vingt-deux hommes se trouvent en Afghanistan en octobre 2001 lorsque les États-Unis envahissent le pays pour traquer Oussama ben Laden. Ils sont turcophones musulmans et appartiennent à la minorité chinoise ouïghoure, réprimée par le pouvoir central de Beijing. Du nord de la Chine à la base américaine de Guantanamo, le nouveau film de Patricio Henrìquez suit l’incroyable odyssée de trois de ces rescapés de l’absurde associés malgré eux au terrorisme mondial. De Patricio Henríquez, 2013, 98 min 31 s.
Tourné dans les quartiers démunis des villes de Nablus (Palestine), Ammam (Jordanie) et Sdérot (Israël), Semeurs d’espoir en terres arides est une incursion intimiste au cœur d’une région instable dont les éternels conflits religieux et socio-politiques éclipsent trop souvent, aux yeux des médias, son sujet le plus fragile : le simple citoyen. Dans ces paysages baignés de soleil, des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants vivent dans l’ombre, ne cherchant qu’à vivre décemment et à faire respecter leurs droits.
Les Cahiers de l'Islam © 2012-2023. Tous droits réservés.
ISSN 2269-1995 Contact : redaction (at) lescahiersdelislam.fr |